La chèvre marocaine est beaucoup
plus agile que sa cousine européenne. En effet, elle n’hésite pas à escalader
les arganiers afin d’en manger son fruit, l’amandon. Si cette prouesse peut
impressionner ou faire sourire, tout le monde n’est pas de cet avis. La
question de la chèvre divise au Maroc.
Les cultivateurs d’arganiers se plaignent des dégâts causés sur leurs arbres par les chèvres, dégâts qui ne se limitent pas à la simple ingestion des fruits par l’animal : certains producteurs d’huile d’argan n’hésitent pas à récupérer des amandons déjà digéré pour faciliter la production et réduire ainsi le coût du produit. Le problème est qu’un amandon déjà digéré perd toutes ses vertus et donne une huile frelatée.
Cependant, cette amertume est paradoxale. Les profits générés par la production d’huile d’argan financent les élevages caprins de la région, qui constituent une autre richesse en offrant des ressources en lait et en viande. Le problème des arganiers et des chèvres est donc un cercle à la fois vicieux et vertueux qui semble insoluble.
Argania tente de répondre à ce problème : l’entreprise a mis en place une cellule de contrôles poussés permettant de tester la qualité des fruits récoltés. Cette étape s’insère dans notre processus de production ce qui garantit une huile haut de gamme et de qualité.
Merci pour votre engagement !
RépondreSupprimerUne huile de super qualité ! Merci !
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